Je viens de passer une semaine sur l’île de Phú Quốc. Je vais faire un article rapide car il n’y a pas grand chose à dire sur les rencontres.
La photo c’est la vue le matin depuis mon balcon.
L’ile est magnifique, un petit coin de paradis. Seulement l’endroit où j’ai pris mon hôtel s’est avéré être un quartier, même une ville morte. Il y avait, je pense une centaine de bâtiments, occupés à 5% et ce n’était que des hôtels, appartements en location. Tous les RDC étaient des magasins, des restos ou des spa. Tout était uniquement pour les touristes. Et dès qu’on sortait des « belles avenues pour les touristes », on trouvait des décharges, des terrains vagues, etc. Il n’y avait pas de rien de la « vie courante ». Pour trouver un coiffeur j’ai dû marcher 20min et sortir de cette pseudo ville. Si j’avais besoin d’une pharmacie, la plus proche était à 8km dans la ville.
Il y avait un « marché » tous les soirs à partir de 18h. En fait une grande allée où les stands de bouffes installaient des tables et des chaises. Cela m’a fait pensé à Khaosan Road à Bangkok, avec des gens qui t’attendent devant avec la carte et t’interpellent. J’y suis passé 2 fois, ensuite je prenais les rues d’à coté.
J’ai fouillé un peu et tout cet ensemble appartement à un seul et même groupe : CEO group. Pas vraiment l’authentique que je cherche.
L’hôtel était beau, bien tenu, il n’y avait qu’un seul employé pour gérer l’hôtel et une femme qui faisait le ménage. L’employé était partout, il faisait l’accueil, il préparait les petits déjeuner, débarrassait, s’occupait des lessives, étendait le linge (des clients et les draps de l’hôtel lavés tous les jours).
En marchant dans des endroits vides j’ai eu l’occasion de voir un petit serpent tout mignon, qui avait plus peur de moi qu’autre chose et qui fuyait. Beaucoup de chiens aussi, je ne m’en approchais pas car je ne sais jamais comment ils peuvent réagir mais c’était des chiens plus ou moins domestique je pense, ils étaient nourris par les locaux, trainaient toujours dans le coin.
Pas grand chose à dire de plus sauf que je veux y retourner mais cette fois véhiculé pour pouvoir explorer l’ile qui est magnifique, je n’ai fait que l’apercevoir.